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~Laissez fleurir le mal que chacun abrite en soi~

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Koizumi-fanfictions

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Bienvenue sur mon blog de fanfictions~

Souvent du yaoi, parfois juste de la souffrance,
La mort, l'amour, le sexe, et aussi quelques sentiments perdus au milieu.

Déconseillé aux homophobes, aux intolérants, à mon père, aux jeunes vierges effarouchées, aux chochottes et aux camionneurs.

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Chapitre VIII Un bouquet d'Asphodèles

Chapitre VIII Un bouquet d'Asphodèles
Un bouquet d'Asphodèles
Marionnette et Marionnetiste

« A force de trainer ma peine, elle a dû s'user un peu...»
Cloud, Final Fantasy VII – Advent Chidren

Combien de fois... Combien de fois encore ? Tu avais vu dans mes yeux la détermination nouvelle qui était née en moi. Depuis l'instant où tu avais fuit de la pièce, j'avais compris que tu ne m'étais pas aussi supérieur que tu voulais me le faire croire. Oh, je t'avais cru. Pendant longtemps, tellement longtemps, que cette prise de conscience me fit l'effet d'une chute sans fin. J'étais Eve, après la première bouchée de la pomme de la discorde ; je savais que ton prétendu pouvoir n'était qu'une illusion, une force issu de l'ignorance de tes victimes. Je savais que ce que j'étais n'était pas un tord, et qu'en moi une force aussi puissance que la tienne ne tendait qu'à se libérer... Mais cette chute, cette chute ! La cave n'en étais que plus lugubre, tes regards fuyants que plus blessants. A présent, je voulais conquérir l'humain que je voyais en toi, mais cette emprise de toi sur moi ne faiblissait pas. Au fond, oui, je savais être fort. Mais en surface, cette surface que tu attaquais sans relâche à travers les mains de ces hommes auxquels tu me livrais, cette surface là se fissurait peu à peu. J'étais le soldat qui se croit achevé par l'ennemi, et qui finalement, depuis la torpeur de la mort, sent son c½ur battre à nouveau. Mais la guerre est fini... J'étais soumis depuis si longtemps que même en ayant la certitude de pouvoir te battre, je n'avais presqu'aucune idée du moyen que je pourrais utiliser. Et, derrière tout cela, une infime pensée... « Pourquoi te mettre à terre ? ». Infime pensée qui prenait de l'ampleur... Plus tes yeux me fuyaient, plus je voulais les captiver. La souris s'éprend du chat.

Mais je te haïssais ! Comme je te haïssais. Chaque jour, sans fautes, l'italien dont j'ignorais toujours le nom m'arrachait à mon cachot, et tu ne venais même plus à la porte. Attendais-je de toi un signe de la main, un au revoir ? Un baiser, peut-être ? Je ne sais pas, je ne savais pas. Je n'avais aucune idée de ce que je pourrais recevoir d'autre de toi que la douleur. Il me posait sur ce lit, bientôt je m'y asseyais moi-même, docile. Un étrange mélange de honte et de faiblesse me prenait à chaque fois que j'obéissais aux ordres muets des hommes. C'était comme si toute cette détermination se terrait au fond de moi, échappait à mon envie de meurtre. J'aurais pu me lever, j'aurais pu crier, j'aurais pu mordre aux visages chaque corps qui voudrait étreindre le mien ; mais le désespoir étouffait ces sursauts de révoltes et ne me laissait plus que la force de pleurer et de gémir. Un chien. J'étais un chien, sage, un bon chien qui ne tente même pas de mordre son maitre trop exigeant ; était-ce vraiment de la faiblesse, ou plutôt de la résignation ? J'avais apprit à accepter mon sort comme un accepte un présent, et bien qu'empoisonné ce présent m'étais cher. Sans doute parce que je savais que le retour dans cette cave plus glauque que jamais aurais quelque chose de réconfortant... Et si le dégoût provoquait en moi des nausées insoutenables lorsqu'encore un homme, puis deux, puis trois se penchaient sur moi, baisaient ma peau et effleuraient mes joues avant de brutaliser mon corps ; j'avais toujours en tête l'image rassurante d'un sol stable et d'un rayon de lumière qui annoncerait ta venue. Tout se basculait, perdait son sens premier, et devenait autre. Tu voulais sans doute que ces assauts morbides, ces viols à répétition me brisent un peu plus et que le désespoir aurait raison de moi. Ce n'était pas le cas... Le paradoxe entre « Le lit » et « La cave » s'intensifiait, devenant « L'italien » et « Ruki ». L'italien était le mal, celui qui fait naitre la douleur, la honte, et le déni de soi. Et Ruki, c'était un calme presque malsain, mais une sécurité certaine à qui sait lire dans tes yeux. Je savais lire dans tes yeux.

Je ne les voyais pas, tes yeux faussement bleus et plus fuyants qu'un cours d'eau, lorsque sur l'immonde lit aux draps saumons un homme suait et haletait de plaisir. Je ne les voyais pas, alors j'étais incapable de te haïr, tout mon être échappait à la torture en se tendant vers le souvenir de ta voix et de tes lectures. Ce n'était pas vraiment de l'amour, ni même un quelconque sentiment positif. C'était seulement un choix entre deux maux... J'avais cru que tu étais le pire, mais à présent que je pouvais décrypter et même jouer avec tes mots, j'étais capable de soutenir la pression. Exercice fatiguant, qui me laissait dans un état si pitoyable que je n'étais plus qu'un combat entre stabilité et défaillance ; tu me rendais fou. Mentalement faible, tu avais fait de moi ton alter-ego, la cible de ta haine, la décharge de ton trop plein de sentiments obscurs. J'avais fait naitre en toi deux sentiments contradictoires, et c'était bien là ma seule fierté, le seul moyen pour moi de m'élever à ta hauteur. C'est même grâce à cela que j'ai pu prendre conscience de ta faiblesse... Tu es humain.
Combien de fois me suis-je allongé sur ce lit, avec ces gestes automatiques, presque maniaques ? Je ne sais plus, je n'ai pas vraiment envie de m'en rappeler. Mais je souffrais bien plus que je ne te le laissais croire, bien qu'à force la sensation de n'être qu'un jouet s'atténuait. Ou plutôt, elle était si présente qu'elle devint habituelle pour moi ; la certitude d'être un jouet avait la même ampleur que celle d'être un être humain. Cela faisait peur, parfois, et créait en moi une angoisse perpétuelle ; mais je finissais aussi par reconnaitre les divers corps qui s'accouplaient au mien, et ce fut comme une routine morbide plutôt qu'une séance quotidienne de torture. La capacité d'adaptation de l'Homme est bien effrayante...

Ce à quoi je ne m'habituais pas, c'était cette déchéance de mon esprit et de mon corps –Mon âme, elle, évoluait sans se flétrir. J'avais peur auprès de l'italien, j'étais prit de frénésie à tes côtés ; je n'étais bien que seul et ça avait quelque chose de terrifiant, pour moi qui avait toujours été très entouré. Je me complaisais à présent dans le silence, appréciant démesurément ces instants de paix où nul ne venait troubler encore mon esprit instable. Mais dès que tu venais... Tu ne perdais pas cette habitude de me nourrir exclusivement de religieuse, et ce régime étonnant avait des effets particulièrement néfastes. J'avais beau avoir l'impression de ne vivre plus que par mon esprit –J'avais fuit l'acte sexuel en niant jusqu'à l'appartenance de mon corps à mon âme-, mon corps était la chaine qui me reliait au mur de la cave. J'étais si maigre, si chétif, que j'avais à peine la force de porter ma tête droite, l'italien me portait sans cesse et mes gestes mous n'avaient plus aucun sens. Devant toi, je faisais mille efforts pour maintenir un air fier, et je m'écroulais dès que tu te détournais de moi ; cette nouvelle faiblesse m'atteignait plus que je ne l'aurais cru, je me sentais réellement pathétique, et je n'avais qu'une peur : que ton mépris de moi ne fasse qu'augmenter. Pendant un moment, ma peau était devenue comme élastique à cause des matières grasses et de la perte de mes muscles, mais à présent je n'avais plus qu'une peau malsaine tendue sur des os que je savais fragiles. C'est quand je pris conscience de l'ampleur des dégâts que je compris n'être pas dans cette cave depuis si longtemps ; car plus de douze mois à ce régime auraient eu raison de moi. Je peinais déjà à garder les idées claires, le soir, et la fatigue ne me quittais plus. Etre exténué en permanence, aussi bien mentalement que physiquement, me rendait bien plus sensible à tes remarques, et bientôt la supériorité que je cru avoir gagné ne fut plus qu'un lointain rêve...

Et je n'étais plus beau.

Je n'avais pas besoin de voir mon visage pour savoir qu'il devait ressembler à ceux de tes victimes d'autrefois. Pourtant, tu ne faisais rien. Ou plutôt, tu ne changeais aucune de tes habitudes... J'étais un pantin que tu ne prenais même plus plaisir à manipuler, l'italien me trainait encore dans cette pièce, malgré le fait que de moins en moins d'hommes ne viennent m'y retrouver –Ceci constituait pour moi un soulagement bienvenu ; mais ça continuait. J'étais comme mort, je te laissais enfoncer ton poing dans ma bouche, bouger ma mâchoire pour me faire mastiquer, c'est à peine si tu devais masser ma gorge pour me faire déglutir... Je n'avais même plus la force de chercher ton regard. A trop vouloir me dominer, tu m'avais prit mon autonomie, j'étais un débile qu'on promène dans les jardins d'un hôpital psychiatrique. Je rêvais de voir le noir de la nuit, d'y plonger, d'y mourir... Je voulais m'éteindre comme une étoile, sans que personne ne le sache, sans que les gens qui me regrettent peut-être n'en ai la moindre idée. Je ne mourrais pas, parce que tu ne daignais pas me tuer. Il t'aurait suffit d'un mot ! A coup sûr, l'ordre « Meurt » m'aurait achevé. Tu me gardais auprès de toi, sans que je ne te sois d'aucune utilité. Mais si je semblais mort, une parcelle de moi restait attentive, et je finis par voir, un jour, une lueur d'inquiétude dans tes pupilles glacées. Pourquoi cela m'avait-il rendu heureux ? Toutefois, même si je craignais le sens de ce bonheur étrange, cela m'avait donné la force de parler. Le ton faible de ma voix te surpris tant que j'eus un sursaut de satisfaction.
« Ça continue... »
« Qu'est ce qui continue ? »

Une question ! Tu m'avais posé une question. Tu fermais tendrement l'ouvrage que tu tenais, et j'eus l'impression d'être un malade et toi l'ami qui attend à son chevet.
« Nous. Ça. Je suis un pantin cassé, la pièce est finie depuis longtemps. »
« Ce n'était pas une pièce. »
« Qu'est ce que c'était, alors ? »
« La vie. »
« La mort, tu veux dire ! »
« C'est la vie, si tu meurs. »

Tu souriais, et cela me donnait l'envie de te parler encore. Ma tête reposait lamentablement contre le mur de pierre, mon dos m'élançait atrocement, mais tu m'écoutais pour la première fois depuis le début, et c'était si... Plaisant ? Non. C'était plus que ça. Je ne ressentais pas de la fierté, mais plutôt... Du bien-être. C'était si agréable que je n'osais bouger, de peur que notre contact visuel de se brise. Tes yeux étaient ancrés dans les miens, et j'y lisais de la sincérité. Tu ne me faisais peut-être pas confiance, mais au moins tu ne doutais plus de moi.
« Je ne suis pas mort. »
« Tu ne m'avais pas accusé du meurtre de ton âme ? »
« Elle est toujours là. Ce qui est mort, c'est le moi d'avant. Moi, je suis vivant. Quand vas-tu me tuer ? »
« Je ne sais pas. »
« Je pensais que tu avais tout prévu ? »
« J'avais tout prévu. »
« Qu'est ce qui cloche, alors ? »
« Toi. »
« Toi, tu veux dire. Moi, je n'ai rien fait de mal. »
« Je voulais seulement te punir. »
« Tu voulais te nourrir de ma souffrance. Je ne souffre plus, je ne suis plus beau. Pourquoi tu ne me tue pas ? »
« Tu veux mourir ? »
« Non. Je veux que tu me tue. »
« C'est la même chose ! »
« Non. Pas si c'est toi qui le fait. »
« Alors je ne te tuerais pas. »

C'est là peur revint. Parce que tu me fixais avec tant de douleur en toi que cela me fit mal, et que je ne compris pas tout de suite la raison de cette douleur. Ta cicatrice, dans la faible lueur de la lune, découpait ton visage et ne le rendait que plus tragique ; tes yeux n'étaient que regret, et ta bouche tordue en un rictus ignoble me prouvait que ta décision venait d'être rude. J'avais peur, peur que tout change, et en cet instant je regrettais mes mots plus que tout au monde. Je savais que tu ne me tuerais pas, et cette certitude était pire que tout... Je voulais mourir par tes mains, et tu me refusais cela. J'aurais dû le savoir. Comme toujours, comme depuis le début, tu m'étais supérieur. Et même si ta supériorité se faisait au prix d'un sacrifice terrible, tu t'y accrochais comme si c'était là ta seule raison de vivre. Je tremblais, alors que tu t'approchais de moi, lentement, trop lentement. Pour une fois, ce n'était pas de toi que j'avais peur, mais plutôt de ta possible absence. Qu'allais-je faire ? Je n'avais aucune idée de ce qui se passait, car ton esprit m'était plus fermé que jamais ; je ne pouvais que lire ta douleur que tu ne cachais même plus, et attendre que tu parle à nouveau...J'avais envie de serrer ta frêle silhouette entre mes bras rachitiques.
« Je vais te raconter une histoire... »
Un soupir de lassitude m'échappa. La routine n'allait que continuer de plus belle... Ne pas me tuer ne voulais pas dire me libérer, de toute évidence. Pourquoi avais-je cru quelque chose de ce genre ?
« Mon histoire. »
Tes yeux se perdaient dans le vide, dans les miens. J'étais le livre que tu lisais. Je compris enfin. Cette souffrance que tu m'infligeais, c'était vraiment la tienne ; et à présent qu'elle était toute entière en moi, tu la lisais comme s'il s'était s'agit d'un poème. D'ailleurs, tu commençais ton récit par un texte de Baudelaire.

Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage
Traversé ça et là par de brillants soleils;
Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,
Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils...

[A suivre...]
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#Posté le dimanche 31 octobre 2010 12:22

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Sorrowmadeyou, Posté le mardi 25 janvier 2011 12:03

Bah en faite, it means : Dieu, Déesse.


mY-nyappy-w0rld, Posté le vendredi 19 novembre 2010 08:18

Je suis lente.... Lente pour venir lire la suite de l'histoire. Mais avec cette fin... j'ai énormément envie de lire la suite.
Je suis toujours aussi fan de ton écriture et de ton style. J'aime beaucoup la tournure des choses. Impatiente de lire la suite.


candii-xRave-Girl, Posté le vendredi 05 novembre 2010 14:32

J'espere que la grand mere de victoria va beaucoup mieu !
Et puis oui la fin était un peu dur ^.~ Mais bon j'aime pas la perfection hein ~


hitsugi-fan-du14, Posté le mardi 02 novembre 2010 19:02

<3
Bon j'avoue... Je l'avais déja lu! XD sur le site..je c plus comment ça s'apelle! ^^
mais j'adoore! =D


saann-chan, Posté le mardi 02 novembre 2010 08:45

La phrase juste après le dernier dialogue, "C'est là peur revint.", est bizarre, non ? Il manque des mots où c'est moi qui ai rien capté ? ^^'

L'évolution des sentiments d'Uruha est vraiment bien décrite, ça m'a impréssionnée (j'aurai dû m'y attendre, mais bon ^^). Ca faisait longtemps que j'avais pas lu un texte où les sentiments du personnages ne changent pas d'un coup, sans qu'on comprenne pourquoi. Fin voilà, j'ai beaucoup aimé ce chapitre, comme tous les autres ^^.
Tu as une idée de combien de chapitres va durer ta fic ?


candii-xRave-Girl, Posté le mardi 02 novembre 2010 04:51

Ecrit la suite , bon dieu écrit la suite !
ah et tu m'a dit que tout voulait te battre contre ceux qui sont injustes avec toi et qui t'empecherait d'etre comme tu le veux mais sa c'est vraiement une bataille sans fin , alors bon courage de ma part !


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